S’expatrier aux 4 coins du monde… oui, mais ça a un cout !

On peut s’expatrier pour quelques mois, quelques années, faire un tour du monde… oui, mais tout ça a un cout. Entre les voyages, une activité professionnelle parfois restreinte, des frais qui s’ajoutent et n’avaient pas été prévus, des frais plus élevés que dans votre pays d’origine, toutes ces conditions font que si voyager et s’expatrier reste une expérience remarquable, la partie financière peut s’avérer problématique.

De manière générale

On peut choisir de partir sac sur le dos ou encore de découvrir les plus beaux hôtels du monde, parcourir les pays les uns après les autres ou bien partir sur un voilier. Lorsqu’on aime voyager, toutes les options sont envisageables ; il y en a pour tous les gouts et toutes les bourses. Mais une constante reste, voyager a un cout. Que l’on parte seul ou en famille, les frais sont différents, mais ils s’avèrent incontournables. Il y a toutefois une différence entre l’expat et le voyageur ; alors que le premier prétend à un certain confort et souhaite s’installer à l’autre bout du monde le plus souvent avec ses proches, le second est plus ouvert à l’inconfort, d’autant plus que c’est pour une période passagère.

Les sites de voyage regorgent pourtant de bons plans et de techniques pour dépenser moins. Anticiper, manger local, favoriser les transports en commun, ne pas hésiter à opter pour les escales, les auberges de jeunesse, vivre chez l’habitant… tout autant d’options qui si elles peuvent paraitre exotiques peuvent aussi s’avérer exaspérantes. Lorsque l’on part à l’autre bout du monde il est vrai que l’on souhaite découvrir d’autres rites et d’autres cultures, mais quand on se trouve en face du Machu Pichu on refuse de s’entendre suggérer de passer son chemin parce que c’est trop cher !

Pour faire court, plus on prépare son voyage, plus la cagnotte de départ est élevée plus on va loin – plus on reste longtemps et mieux on découvre !

Les frais de l’expatriation

Il y a à peine une vingtaine d’années, lorsque l’on parlait de s’expatrier c’était le plus souvent synonyme d’un niveau de vie plus élevé à celui du pays d’origine. Meilleur confort, un logement plus luxueux, les enfants dans des écoles privées… bref, si la motivation de départ restait de découvrir de nouvelles cultures, la partie financière facilitait grandement les choses. Seulement, ce n’est plus le cas. Certaines des villes d’expatriation font aujourd’hui partie des villes les plus chères au monde. Ainsi, selon une étude menée par le Cabinet Mercer, Luanda, une ville angolaise, serait la ville la plus chère au monde pour les expatriés. De nombreuses compagnies s’y sont installées, et les prix de l’immobilier avec le standing attendu par les expatriés ont flambé. D’autres villes africaines comme N’Djamena (au Tchad, en 3e position) ou encore Libreville (au Gabon, en 12e position) se retrouvent dans la même situation. A titre de comparaison, Paris arrive ex-aequo avec Londres en 17e position des villes les plus chères pour les expatriés. Encore une fois, cette étude définit les besoins liés aux expatriés, comprenant des critères tels que le logement, la scolarisation des enfants, les assurances de santé, les transports, la nourriture et les loisirs.

Ne pas sous-estimer la nostalgie du pays d’origine

Votre tour 2

Partir loin, tout plaquer… c’est souvent très excitant. Chacun ses motivations, mais le dépaysement reste le critère essentiel. La découverte est passionnante, les rencontres rafraichissantes toutefois il ne faut pas sous-estimer les petits moments de nostalgie. Loin des siens, manque de repère, trop d’émotions sont autant d’éléments qui font que parfois on s’attache à des petits détails qui nous rappellent la maison. Toutes ces petites choses qui ont un cout mais qui s’avèrent soudainement indispensables alors qu’elles n’étaient pas prévues. Pour certains se sera la nourriture, pour d’autres le fait de communiquer avec ses proches, pour d’autres encore (les plus malins) ce sera la loterie faite maison. Bin oui, frais supplémentaires, cagnotte qui s’effrite, chacun cherche une solution facile rapide et efficace pour renflouer les caisses à moindre frais. Seulement, quand on arrive dans un nouveau pays, les us et coutumes ne sont pas toujours évidents et on a souvent tendance à se rabattre sur ce que l’on connait le mieux. Pour ça on vous a dégoté un site sur lequel vous pouvez jouer de partout dans le monde, le site de loto en ligne theLotter. Contrairement à la FDJ qui n’autorise qu’une vente locale de tickets de loto, chez theLotter ils proposent plus de 45 lotos à travers le monde, en passant par l’EuroMillions, le Mega Millions américain ou encore le Powerball USA, bref toutes les plus grosses loteries disponibles à travers le monde. Il vous suffit de choisir votre loterie préférée en ligne, ils se chargent du reste. En cas de gain, les fonds sont directement reversés sur votre compte, sans que vous ayez à vous déplacer. C’est simple, rapide, efficace et entre vous et nous, ça met du beurre dans les épinards.

Fondateur du blog
  1. J’ai bien aimé l’article et la conclusion sur le loto m’a faite sourire… mais soyons honnête, le principal risque du loto, c’est de voir sa bourse s’effriter encore plus vite que prévue plutôt que de ne la renflouer 😀
    Sérieusement, il est vrai que certaines villes deviennent très chères pour les expats, j’avais déja entendu le cas de figure de Luanda comme tu le soulignes. Mais il ne faut pas oublier que dans ce pays, la plupart des expatriés travaillent dans le pétrol et ont un salaire qui compense largement.
    En revanche dans d’autre pays, citons par exemple l’Asie, l’Amérique du Sud et même l’Europe de l’Est, les contrats d’expats sont de plus en plus des contrats locaux… et le salaire est ré-évalué par rapport au niveau de vie local, ce qui est compréhensible (un expat à Bangkok qui gagne 3000€ par mois, c’est comme en gagner 8000€ à Paris et les entreprises l’ont bien compris surtout sur les postes à responsabilité moyenne où de plus en plus de locaux sont capables de faire la même chose que vous, voire mieux), mais qui rend plus compliqué les économies sur la durée et sa préparation pour le retour au pays.

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.